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Massacre à la tronconneuse: Le commencement

Affiche du film "Massacre à la tronconneuse: Le commencement"

© 2006 New Line Cinema − Tous droits réservés.

Bon, rien de bien surprenant, tant il était attendu ( comment ca uniquement par moi ?? non !! Par tous les fans du genre aussi ). Bref, pas beaucoup de distribution sur Paris, je l’ai vu pour ma part en VO sur les Champs. Mise à part un fauteur de trouble venu on se sait pourquoi qui s’est pointé juste avant le générique, il a commencé a raconter sa vie ( tout fort biensur comme si ca nous interessait !! ) et a gueuler aux premiers sursauts. Bon, faut pas m’emmerder, je lui ai lancé un “chuuuuuuut” auquel il a répondu ” chuut” …. Remarque, c’est pas perdu pour lui, il sait au moins faire les imitations.
La connerie humaine surpassée, j’ai donc eu du mal à rentrer dans le film, mais bon.. Au début, on découvre  la mère de Leatherface, pas très jolie il faut avouer, qui accouche comme une vache met bas, bref, avec ce genre de naissance, on s ‘étonne qu’il tourne mal le gars ; bon en plus, il a la tronche en biais comme on dit..

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Pauvre garçon, il est pas gaté. Il se fait malgré tout recueillir par une famille bienveillente ( ?? ) qui l’élève. Il grandit et forcément ce qui devait arriver arrive, il égorge les moutons, le chat de sa grand mère, bref, tout y passe. Plus tard, il travaille dans l’abbatoir près de chez lui ( c’est une vocation pour lui comprenez le ).
Le pire c’est qu’il aime bien ça, tellement que quand il vient à fermer ses portes, il est dégouté et tue le patron à coup de pioche. Moi, ca m’a choqué de voir Leatherface avec un gros marteau, ca le fesait pas trop, on est habitué à plus de violence ; je vous rassure, il va y en avoir.

En parallèle, deux couples de jeunots traversent le texas à destination, pour les mecs, de la guerre du Vietnam. Bon embrouille entre frères, y’en a un qui veut pas y aller, une gonzesse qui croit que l’amour de sa vie va lui faire plein de mioches, ils sont un peu cul-cul il faut dire. Ils vont pas le rester longtemps car ils vont croiser la route du shérif Hoyt, pas vraiment shérif puisqu’il a buté le vrai et qu’il lui a volé ses fringues. Ce dernier les emmène de leur plein gré, chez lui je vous le donne en mile où Tommy ( Leatherface pour les intimes ) joue aux billes. Bon, la ça va aller de mal en pis pour eux, car c’est la dèche pour la famille Hewitt, y’a pas un Carrouff dans le coin pour acheter à bouffer et pas de blé pour faire les courses.

© 2006 New Line Cinema − Tous droits réservés.

 

Et comme Hoyt a déja gouté aux joies du cannibalisme pendant la guerre de Corée ( ouais faut une licence d’histoire pour aller voir le film ), il se dit que c’est économique et que c’est plus commode de cuisiner ses congénères. Les puceaux vont biensur tenter de s’enfuir, mais c’est sans compter sur Tommy qui  a trouvé un nouveau Joujou qui va faire toute sa renommée, la Chainsaw. Il est vrai qu’il aurait pu choisir un modèle plus commode à transporter et surtout à allumer ( vriiiiiin ) mais bon que voulez vous, on prend ce qu’on a sous la main. Elle va donc lui servir à poursuivre les donzelles ( toujours en mini jupe d’ailleurs, comme quoi rien n’a changé depuis le 1er Vendredi 13 ) qui se cachent toujours au mauvais endroit, à trucider le pote qui lui vient en aide ( Leatherface en fait une brochette ), et enfin à faire un tartare avec la dite demoiselle qui croyait s’en être sortie, mais qui aurait du regarder sur la banquette arrière.

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Tout ca pour dire que tout le monde meurt (sauf les méchants qui, du coup, ont de la bouffe pour tout l’hiver ), et que c’est un bon film bien gore, avec du transpercage, du sang et tout ce qu’on veut..!

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