Preview #1 Laisse-moi Entrer

Preview #1 Laisse-moi Entrer

Un jeune garçon isolé dans une petite ville du Nouveau-Mexique croit avoir
enfin trouvé une amie. Lorsque des meurtres se multiplient dans une escalade
épouvantable, il va bien être obligé de se demander quel genre de copine elle est…
La culture populaire n’est pas avare de créatures assoiffées de sang, mais
LAISSE-MOI ENTRER tranche fortement sur les autres films de vampires. Mêlant récit
initiatique poignant et film d’horreur à vous glacer le sang, ce film est aussi une
réflexion sur le difficile passage à l’adolescence.
Matt Reeves, scénariste et réalisateur, observe : « Les plus célèbres histoires
de vampires utilisent le mythe d’une façon différente. Souvent, elles tournent autour
de l’attirance physique, elles ont une connotation sexuelle. Mais notre histoire
explore une tout autre direction. »
LAISSE-MOI ENTRER est tiré du best-seller de l’auteur suédois John Ajvide
Lindqvist Låt den Rätte Komma In (paru en France sous le titre Laisse-moi entrer), et
s’inspire également de la première adaptation du livre au cinéma, MORSE, réalisée
par Tomas Alfredson. Salué par la critique, le long métrage suédois a remporté entre
autres prix le Founders Award du meilleur film au Festival de Tribeca en 2008. Son
très grand succès auprès du public a attiré l’attention de Hammer Films et d’Overture
Films. Cette nouvelle version, LAISSE-MOI ENTRER, marque le retour du légendaire
studio britannique spécialiste de l’horreur, Hammer Films : c’est le premier film à
sortir sous cette bannière depuis plus de trente ans.
Simon Oakes, vice-président d’Exclusive Media Group, et président-directeur
général de Hammer Films, explique que la société a été immédiatement attirée par
l’originalité de l’histoire et son approche inédite du mythe du vampire. Le roman de
Lindqvist a éveillé l’attention de la Hammer en 2007, puis c’est le film à son tour qui
a retenu son intérêt. Il précise : « Nous suivions cette histoire depuis longtemps.
Nous pensions qu’il fallait lui permettre de toucher un public bien plus vaste encore.
Même si la compétition a été rude, nous avons pu développer d’excellentes relations
avec les producteurs, et nous avons ainsi pu nous assurer les droits. »
Peu après la sortie plébiscitée de son thriller CLOVERFIELD en 2008, Matt
Reeves a été contacté par Overture pour adapter le livre et en faire un film en
anglais tourné aux Etats-Unis. Le scénariste et réalisateur a été immédiatement
captivé par ce conte, qui lui rappelait sa propre enfance.
« Cette histoire me touchait profondément, explique-t-il. John Ajvide Lindqvist
et Tomas Alfredson, le réalisateur du film suédois, ont créé une métaphore
extrêmement puissante des tourments de l’adolescence. »
Lorsque la Hammer a acquis les droits du film, Matt Reeves s’est impliqué
encore plus intensément dans le projet. « Je trouvais très excitant que ce film soit
produit par la Hammer, étant donné leur passé dans le cinéma – ils étaient réputés
pour leurs films fantastiques, d’horreur et d’aventures dans les années 50 et 60. Je
savais qu’il faudrait que je trouve un lien direct fort entre l’histoire et moi. Les gens
de chez Overture aimaient eux aussi ce projet, à tel point qu’ils ont voulu y
participer, et qu’ils ont fini par s’associer avec la Hammer. »
Simon Oakes commente : « L’enthousiasme de Matt Reeves faisait de lui le
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meilleur candidat possible. Il avait lu le roman et vu le film suédois, et il était certain
de trouver le moyen de s’approprier l’histoire. Il avait une vraie passion pour le
projet, et cela valait tous les arguments. Il était déterminé à rester fidèle à l’esprit de
l’histoire de Lindqvist, tout en la développant afin d’y intégrer sa propre vision. »
Après avoir lu le roman, Matt Reeves a écrit à l’auteur, John Ajvide Lindqvist.
« Je lui ai dit que j’étais très intéressé par l’histoire. Pas parce que c’était une grande
histoire de vampire – ce qui est bel et bien le cas – mais parce que le roman me
hantait : il me rappelait tellement mon enfance… »
Matt Reeves a découvert avec étonnement que Lindqvist connaissait lui aussi
son travail : « Il avait vu CLOVERFIELD. Il m’a dit qu’il avait été frappé par le fait que
ce film donnait une vision tout à fait nouvelle d’un thème ancien, et que c’était ce
que lui-même avait essayé de faire avec son livre. Quand il a appris que je projetais
d’en faire une version américaine, il a montré beaucoup d’enthousiasme.
« Quand je lui ai fait part de ma réaction par rapport à l’histoire et du fait
qu’elle me rappelait mon enfance, il a été plus enthousiaste encore, parce que cette
histoire était celle de son enfance à lui… C’était une histoire très personnelle pour lui,
et elle l’était aussi pour moi. Je sentais qu’il y avait moyen de prendre l’essence
même de son histoire et de la traduire dans le cadre américain que j’avais connu
dans ma jeunesse. »
Le livre possédait déjà une communauté de lecteurs passionnés à travers le
monde et Matt Reeves partageait leur profond respect pour l’oeuvre originale. Son
scénario s’inscrit dans l’esprit du roman et de sa première adaptation sur grand écran
mais situe l’action dans une petite ville des montagnes du Nouveau-Mexique. Il
raconte : « A un moment, j’avais pensé vieillir les enfants pour mieux correspondre
au public américain, mais cela aurait détruit le fondement même de l’histoire. Le
sujet, c’est justement cette période-là d’une vie, la difficulté de vivre au quotidien
pour un garçon de 12 ans persécuté à l’école et sans amis. Il s’agit de l’innocence et
de la découverte de cet âge, de la juxtaposition de la lumière et des ténèbres. »
Matt Reeves poursuit : « Je voulais absolument trouver une façon de
transposer l’histoire de la Suède des années 80 à l’Amérique des années 80 –
l’Amérique de Reagan. La guerre froide battait encore son plein quand Ronald
Reagan a fait son discours sur « l’Empire du mal ». Le Président affirmait que le mal
était quelque chose qui existait en dehors des Etats-Unis. Les Soviétiques étaient le
mal, mais nous Américains, nous étions fondamentalement bons. Et je me suis dit
« Comment serait-ce de grandir dans un tel contexte pour un garçon de 12 ans qui
garde en lui tous ces sentiments sombres et profonds ? » Ce serait terriblement
perturbant. »
Même si les cinéastes acceptaient tout ce qui touchait au surnaturel dans
l’histoire, ils étaient conscients de la nécessité de rendre l’émotion aussi réaliste que
possible. Matt Reeves commente : « Dans un film de genre, je crois que le plus
excitant de tout, c’est quand on peut introduire sous la surface des choses un propos
ayant un sens plus profond. Je pense que c’est ce qui rend notre film différent. Ce
n’est pas un conte fantastique sur les vampires, c’est une histoire dont les gens
peuvent se sentir très proches. »
La coproductrice Vickie Dee Rock salue Matt Reeves pour l’extraordinaire
proximité qu’il a ressentie avec le sujet et les personnages, et pour sa capacité à
donner à cette histoire une portée universelle. « Cette histoire est en fait une
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réflexion sur l’humanité, dit-elle. On aurait tort de penser que c’est uniquement un
film de vampires. Il traite en réalité du sentiment d’isolement que l’on peut ressentir
et du prix que l’on est prêt à payer pour être aimé. »
Pour Simon Oakes, le tournage de ce film boucle la boucle pour Hammer
Films, qui une fois de plus, adopte une approche pionnière pour traiter un genre
populaire. « En un sens, note-t-il, nous avons posé les jalons des films de vampire
avec les DRACULA de la fin des années 50. La Hammer a transformé le vampire, joué
par Christopher Lee, en un personnage sensuel. Nous avons bousculé les traditions
et ouvert la voie avec cette façon de voir les vampires, qui a donné le ton pendant
des décennies. »

Le remake de Morse sort le 6 Octobre prochain au cinéma. Voici ce qui nous attend :

Un jeune garçon isolé dans une petite ville du Nouveau-Mexique croit avoir enfin trouvé une amie. Lorsque des meurtres se multiplient dans une escalade épouvantable, il va bien être obligé de se demander quel genre de copine elle est… La culture populaire n’est pas avare de créatures assoiffées de sang, mais LAISSE-MOI ENTRER tranche fortement sur les autres films de vampires. Mêlant récit initiatique poignant et film d’horreur à vous glacer le sang, ce film est aussi une réflexion sur le difficile passage à l’adolescence. Matt Reeves, scénariste et réalisateur, observe : « Les plus célèbres histoires de vampires utilisent le mythe d’une façon différente. Souvent, elles tournent autour de l’attirance physique, elles ont une connotation sexuelle. Mais notre histoire explore une tout autre direction. »

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LAISSE-MOI ENTRER est tiré du best-seller de l’auteur suédois John Ajvide Lindqvist Låt den Rätte Komma In (paru en France sous le titre Laisse-moi entrer), et s’inspire également de la première adaptation du livre au cinéma, MORSE, réalisée par Tomas Alfredson. Salué par la critique, le long métrage suédois a remporté entre autres prix le Founders Award du meilleur film au Festival de Tribeca en 2008. Son très grand succès auprès du public a attiré l’attention de Hammer Films et d’Overture Films. Cette nouvelle version, LAISSE-MOI ENTRER, marque le retour du légendaire studio britannique spécialiste de l’horreur, Hammer Films : c’est le premier film à sortir sous cette bannière depuis plus de trente ans. Simon Oakes, vice-président d’Exclusive Media Group, et président-directeur général de Hammer Films, explique que la société a été immédiatement attirée par l’originalité de l’histoire et son approche inédite du mythe du vampire. Le roman de Lindqvist a éveillé l’attention de la Hammer en 2007, puis c’est le film à son tour qui a retenu son intérêt. Il précise : « Nous suivions cette histoire depuis longtemps.

Nous pensions qu’il fallait lui permettre de toucher un public bien plus vaste encore. Même si la compétition a été rude, nous avons pu développer d’excellentes relations avec les producteurs, et nous avons ainsi pu nous assurer les droits. » Peu après la sortie plébiscitée de son thriller CLOVERFIELD en 2008, Matt Reeves a été contacté par Overture pour adapter le livre et en faire un film en anglais tourné aux Etats-Unis. Le scénariste et réalisateur a été immédiatement ncaptivé par ce conte, qui lui rappelait sa propre enfance. « Cette histoire me touchait profondément, explique-t-il. John Ajvide Lindqvist et Tomas Alfredson, le réalisateur du film suédois, ont créé une métaphore extrêmement puissante des tourments de l’adolescence. » Lorsque la Hammer a acquis les droits du film, Matt Reeves s’est impliqué encore plus intensément dans le projet. « Je trouvais très excitant que ce film soit produit par la Hammer, étant donné leur passé dans le cinéma – ils étaient réputés pour leurs films fantastiques, d’horreur et d’aventures dans les années 50 et 60. Je savais qu’il faudrait que je trouve un lien direct fort entre l’histoire et moi. Les gens de chez Overture aimaient eux aussi ce projet, à tel point qu’ils ont voulu y participer, et qu’ils ont fini par s’associer avec la Hammer. »

LET ME IN

Simon Oakes commente : « L’enthousiasme de Matt Reeves faisait de lui le meilleur candidat possible. Il avait lu le roman et vu le film suédois, et il était certain de trouver le moyen de s’approprier l’histoire. Il avait une vraie passion pour le projet, et cela valait tous les arguments. Il était déterminé à rester fidèle à l’esprit de l’histoire de Lindqvist, tout en la développant afin d’y intégrer sa propre vision. » Après avoir lu le roman, Matt Reeves a écrit à l’auteur, John Ajvide Lindqvist. « Je lui ai dit que j’étais très intéressé par l’histoire. Pas parce que c’était une grande histoire de vampire – ce qui est bel et bien le cas – mais parce que le roman me hantait : il me rappelait tellement mon enfance… » Matt Reeves a découvert avec étonnement que Lindqvist connaissait lui aussi son travail : « Il avait vu CLOVERFIELD. Il m’a dit qu’il avait été frappé par le fait que ce film donnait une vision tout à fait nouvelle d’un thème ancien, et que c’était ce que lui-même avait essayé de faire avec son livre. Quand il a appris que je projetais d’en faire une version américaine, il a montré beaucoup d’enthousiasme.

LET ME IN

« Quand je lui ai fait part de ma réaction par rapport à l’histoire et du fait qu’elle me rappelait mon enfance, il a été plus enthousiaste encore, parce que cette histoire était celle de son enfance à lui… C’était une histoire très personnelle pour lui, et elle l’était aussi pour moi. Je sentais qu’il y avait moyen de prendre l’essence même de son histoire et de la traduire dans le cadre américain que j’avais connu dans ma jeunesse. » Le livre possédait déjà une communauté de lecteurs passionnés à travers le monde et Matt Reeves partageait leur profond respect pour l’oeuvre originale. Son scénario s’inscrit dans l’esprit du roman et de sa première adaptation sur grand écran mais situe l’action dans une petite ville des montagnes du Nouveau-Mexique. Il raconte : « A un moment, j’avais pensé vieillir les enfants pour mieux correspondre au public américain, mais cela aurait détruit le fondement même de l’histoire. Le sujet, c’est justement cette période-là d’une vie, la difficulté de vivre au quotidien pour un garçon de 12 ans persécuté à l’école et sans amis. Il s’agit de l’innocence et de la découverte de cet âge, de la juxtaposition de la lumière et des ténèbres. » Matt Reeves poursuit : «

Je voulais absolument trouver une façon de transposer l’histoire de la Suède des années 80 à l’Amérique des années 80 – l’Amérique de Reagan. La guerre froide battait encore son plein quand Ronald Reagan a fait son discours sur « l’Empire du mal ». Le Président affirmait que le mal était quelque chose qui existait en dehors des Etats-Unis. Les Soviétiques étaient le mal, mais nous Américains, nous étions fondamentalement bons. Et je me suis dit « Comment serait-ce de grandir dans un tel contexte pour un garçon de 12 ans qui garde en lui tous ces sentiments sombres et profonds ? » Ce serait terriblement perturbant. » Même si les cinéastes acceptaient tout ce qui touchait au surnaturel dans l’histoire, ils étaient conscients de la nécessité de rendre l’émotion aussi réaliste que possible. Matt Reeves commente : « Dans un film de genre, je crois que le plus excitant de tout, c’est quand on peut introduire sous la surface des choses un propos ayant un sens plus profond. Je pense que c’est ce qui rend notre film différent. Ce n’est pas un conte fantastique sur les vampires, c’est une histoire dont les gens peuvent se sentir très proches. » La coproductrice Vickie Dee Rock salue Matt Reeves pour l’extraordinaire proximité qu’il a ressentie avec le sujet et les personnages, et pour sa capacité à donner à cette histoire une portée universelle. « Cette histoire est en fait une réflexion sur l’humanité, dit-elle. On aurait tort de penser que c’est uniquement un film de vampires. Il traite en réalité du sentiment d’isolement que l’on peut ressentir et du prix que l’on est prêt à payer pour être aimé. »

Pour Simon Oakes, le tournage de ce film boucle la boucle pour Hammer Films, qui une fois de plus, adopte une approche pionnière pour traiter un genre populaire. « En un sens, note-t-il, nous avons posé les jalons des films de vampire avec les DRACULA de la fin des années 50. La Hammer a transformé le vampire, joué par Christopher Lee, en un personnage sensuel. Nous avons bousculé les traditions et ouvert la voie avec cette façon de voir les vampires, qui a donné le ton pendant des décennies. »

5 plusieurs commentaires

  1. Plus je vois d’image et obtient d’info sur ce film, et plus il me dégoûte. Lors de sa sortie en salle, tout le monde le trouvera fantastique et ceci vaudra au nouveau réalisateur d’intenses félicitations et ovations. Sur toutes les personnes qui verront se film, très peu auront vu Morse, et très peu sauront que “Let me in” n’est qu’un ridicule remake d’une oeuvre magistrale. Morse passera inaperçu aux yeux du public, et LAISSE-MOI RENTRER (un titre qui, au passage, ne correspond à rien d’autre qu’une comédie dramatique bidon) recevra les honneurs, alors qu’il ne les mérite pas. Encore une fois, les américains seront sur le devant de scène, alors qu’il se seront contenté simplement de faire une pure copie d’un film qui ne vient pas de chez eux.

    Quelle tristesse que tout ceci soit légal. Il faudrait que le titre porte impérativement la mention “Remake de Morse, un chef d’oeuvre de Tomas Alfredson” écrit en très très gros, en rose bonbon fluo avec des paillettes autour !

  2. Globalement d’accord avec le commentaire de Skeldron, surtout sur la fin, c’est une excellente idée !
    Il sera impossible pour moi de mettre un pied dans une salle pour voir ce film, malgré toute la bonne volonté du réalisateur.
    En tout cas très bon billet 😉

  3. @skeldron : euh je ne voudrais pas te chier dans les bottes mais je pense que tu n’est pas sans savoir que le livre original s’apelle “Laisse moi entrer” donc ne dit pas “un titre qui, au passage, ne correspond à rien d’autre qu’une comédie dramatique bidon” car tu va t’attiré les noises des fans du livre 😉
    Apres certes je suis en partit d’accord avec toi sur le point du remake à la sauce amerlock de merde mais enfin bon “peut etre” que ce film sera à la hauteur de Morse, tout comme Morse l’était pour le livre original.

  4. Ayant vu les deux, je trouve le film de Matt Reeves plus inspiré que la version originale! Ici nous avons à faire certes un à remake comme tant d’autres mais avec une accentuation plus dramatique que Morse! Quant au film “amerlok de merde” comme j’ai pu lire, je trouve cette phrase vraiment immature, que tu n’aimes pas les américains est une chose mais si tu es cinéphile comme moi, tu devrais respecter un tant soi peu les films de tout pays! Bonne soirée!

  5. Ça ne sert à rien de refaire le monde. Les US se sont emparés de beaucoup de projets qui à l’origine étaient des chefs d’œuvre. Est-ce qu’on doit reprocher aux US d’être les US?
    J’ai vu la version américaine en premier, alors que Morse m’avait interpelé bien avant. Je l’ai adoré, et ça ne m’a pas empêché de regardé Morse et de le trouver grandiose, sur-plantant de loin le remake. Certes, ce n’est qu’un vilain plagiat (et là pour le coup je blâme le discours bidon de Matt Reeves dans les bonus), mais force est de constater qu’il est bien tourné, certes à la sauce américaine, brillamment joué et cadencé. Je vais te dire, pour peu que tu sois un amateur du genre, tu sauras à qui revient le mérite, et c’est ça le plus important.
    Au final, est-ce que l’exposition qu’a eu Laisse-Moi Entrer n’a pas permis à certains de découvrir Morse? Est-ce que ça n’a pas été bénéfique à l’œuvre originale? Je pense que Morse a eu l’énorme succès qu’il méritait, et qu’en faire une adaptation bien que plagiée n’ait été que du plus pour ce petit bijou, le remake lui rendant plutôt bien justice.

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